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Logos de diverses marques de machines à vapeur et leurs histoires
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des erreurs ou des oublis,contactez moi svp merci.
Vous
pouvez également visiter le forum des passionnés à
cette adresse :
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En 1890, Wenman BASSETT-LOWKE, après avoir fabriqué
des locomotives à vapeur pour la firme de son père,
J.T. LOWKE & Son, monta sa propre petite entreprise à Northampton,
en Grance-Bretagne. La fabrication de trains commença en 1901
en association avec les marques allemandes BING et CARETTE, qui fabriquèrent
respectivement les trains haut de gamme et bas de gamme que la firme
anglaise vendait. La première guerre mondiale obligea BASSETT-LOWKE
à produire lui-même, mais les liens avec BING furent
renoués dès les années 1920. De nouvelles usines
furent montées à Edimbourg et Manchester et la gamme
offerte ne manqua pas de s'enrichir dès les années 1930,
d'autant plus que BASSETT-LOWKE et son associé Henry GREENLY,
passionnés de trains et fervents modélistes, commandèrent
à BING des modèles d'un haut niveau de réalisme
d'aspect et en produisirent eux-mêmes. La mort de BASSETT-LOWKE
entraina l'abandon progressif des trains-jouets. La firme ne produisit
plus que des trains pour musées et jardins publics. Une nouvelle
firme, créée en 1968, reprit le nom et relança
les fabrications. |
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Avant 1902
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de 1902 à 1907
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de 1908 à 1925
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de 1925 à 1932
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il faut savoir que beaucoup
de machines
Allemandes étaient marquées :
"made in Germany" avant1945
et
"made in Western Germany" après 1945
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C'est
en 1863 que les frères Ignaz et
Adolf BING se mirent à tenir un commerce de
jouets et d'objets divers pour la
maison, sous la raison sociale Gebrüder
BING (BING frères). En 1879 ou 1880, ils commencèrent
leur propre production de
jouets et l'entreprise Nurnberger Metall und Lackiertwarenfabrik
Gebrüder
BING connut une expansion très rapide avant
la première guerre mondiale. En 1919, Ignaz meurt et Stéphane
BING reprend la direction de la firme, Il s'emploie, avec énergie,
à en faire une des premières entreprises tant par
la qualité que par la quantité : de nombreux départements
sont installés
en Europe pour produire partiellement les fameux jouets, et le
nombre d'ouvriers dépassait dix mille. Mais la crise de1929
lui
fut fatale : Stéphane BING
dut en céder la direction et, en 1932, la production de
jouets cessa. Karl BUB en reprit une partie.
La gamme de produits offerte par BING
était très variée : jouets en "tin plate"
de toute sorte, depuis les trains jusqu'aux
automobiles ou aux avions, mais aussi bateaux à vapeur
vive, machines fixes à vapeur vive, jouets d'optique, lanternes
magiques, stéréoscopes, etc.*
Voici
un site intéressant avec des machines Bing, cliquez
ici
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la marque Burnac n'a pas de logo,
voici le dessous d'une base de machine
et ci dessous une boite
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Burnac
se trouvait à Stoke-on-Trent, dans le quartier de Burslem,
en Angleterre. Apparemment, la fabrique aurait commercialisé
un unique modèle de machine à vapeur jouet, un modèle
vertical nommé Vulcan, de 1946 à 1949. Cest
un petit modèle de machine à vapeur jouet dont la
chaudière et le moteur sont tous les deux montés verticalement,
le moteur est installé sur la chaudière, au-dessus
de louverture pour le brûleur, et la chaudière
est montée sur une lourde base en zamak, dont on y trouve
dessous les inscriptions "A Burnac Product Made in England".
La chaudière était assemblée à lépoque
avec plusieurs métaux : certaines étaient complètement
en laiton, dautres étaient faites dun mélange
de cuivre et de laiton (soit le tube était en laiton , le
dessus et le fond en cuivre, soit le contraire), et enfin, certaines
avaient le dessus et le fond en métal avec le tube en cuivre
ou en laiton, doù, aujourdhui, le fait de trouver
de nombreuses Burnac Vulcan avec un fond de chaudière percé
à cause de la rouille. La chaudière est traversée
en son centre par un petit tube, qui permet une meilleure répartition
de la chauffe. On trouve aussi deux types de niveau deau sur
ce modèle : le premier niveau est de style Bing, certains
disent même que Burnac auraient pû racheter des niveaux
deau à Bing lorsque cette dernière fabrique
a fermé en 1932. Le second est plat, et peint en rouge, comme
le volant en zamak, une partie du cylindre ou le disque du vilbrequin.
Quant à lorigine de cette fabrique, il existe plusieurs
histoires, mais aucune nest, aujourdhui, certaine. La
première serait quun entrepreneur, après que
la Seconde Guerre Mondiale soit terminée, aurait trouvé
un énorme stock denveloppes dobus inutilisées
pour une bouchée de pain, qui auraient donc servi à
la réalisation de la chaudière. Ce nest quune
rumeur, mais le diamètre des chaudières Burnac est
exactement le même que les enveloppes des obus Bofors AA,
soit 40mm. La seconde serait que Burnac fabriquait à lépoque
des machines à coudre, et aurait fabriqué ces jouets
à vapeur comme activité secondaire. |
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Märklin
de 1856 à aujourd'hui
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après 1900
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avant 1929
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de 1930 à 1954
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de 1930 à 1954
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ci
dessous quelques formes sous laquelle on trouve les logos Märklin
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logo
d'une n° 402 mobile
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datant
d'avant 1929
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logo d'une mobile nr. 5
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magnifique
exemplaire de logo d'un modèle
4103/4 vertical de 1919
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En
1840, Theodor Friedrich Wilhelm MÄRKLIN
s'établit à Göppingen. En 1856, il obtint la
citoyenneté allemande et devint un
petit indépendant. Caroline Hettich de Ludwigsburg et Theodor
se marièrent en 1859 et il décida de s'orienter
vers la
fabrication de cuisines de poupées. C'est pourquoi, l'année
1859 est considérée comme l'année de fondation
de MÄRKLIN.
Au début, Madame MÄRKLIN
donna un coup de main et s'érigea en une véritable
femme d'affaires. Elle écuma toute l'Allemagne
du Sud et l'Autriche pour apporter elle-même la marchandise.
La firme s'étendit et fut rapidement confrontée
à un manque de
place.
Cependant, en 1866, Th. F. W. MÄRKLIN
disparaît tragiquement dans un accident, ce qui signifia
plus ou moins la fin de la
jeune société MÄRKLIN.
Madame MÄRKLIN reprit
le flambeau, seule, et après quelques années noires,
les fils de Theodor,
Eugen et Karl, reprirent la société pour en faire
la Gebrüder MÄRKLIN.
La gamme est constituée de cuisines de poupée, de
voitures, de bateaux, de moulins à vent, etc. Lors de la
Foire de
Printemps en 1891, MÄRKLIN
présente le premier système de train miniature,
composé d'une locomotive à mécanisme
d'horlogerie et d'un réseau de voies en forme de huit.
C'est la qu'est né le train miniature, mais pas seulement
en tant que
train dans son ensemble. Ce premier réseau, dont seront
issues toutes les échelles, jette les bases du modélisme
ferroviaire.
Très vite, d'autres trains voient le jour, mus par la vapeur
et alimentés par de l'alcool à brûler. En
1895, MÄRKLIN arrive
avec son premier train électrique, chose pour le moins
étrange puisque Göppingen n'a été équipé
à l'électricité qu'en 1900 ! Les premiers
trains miniatures, qu'ils soient à vapeur, à mouvement
d'horlogerie ou électriques présentaient leur lot
de défauts au niveau du mécanisme d'entraînement.
Les locomotives à mouvement d'horlogerie démarrait
rapidement mais abandonnait après quelques tours. Les locomotives
à vapeur chauffaient rapidement et n'étaient pas
réglable au niveau de la vitesse, ce qui pouvait présenter
quelque danger dans les courbes serrés. Le train continuait
à tourner tant qu'il y avait de l'alcool. Les ensembles
de trains électriques étaient branchés sur
un réseau électrique local, la plupart du temps
en 110 ou 220 Volt, protégé uniquement par deux
résistance à lampe. Un contact direct avec les rails
n'était, la plupart du temps, pas très agréable
!
A partir de 1926, le train miniature devient plus sûr et
plus facilement manipulable grâce à l'apparition
sur le marché du système 20 volts. Le catalogue
de MÄRKLINétait
rempli de jouets de toutes sortes, s'inspirant des progrès
techniques de la vie de tous les jours. Locomotives à vapeur,
maisons de poupée, ustensiles de cuisines, manèges,
voitures, avions, bateaux et boites de construction métallique.
Les ingénieurs en herbe découvraient de manière
ludique à partir de 1914 ce que signifiaient mécanique,
mouvement de levier et transmission.
Le changement le plus marquant n'apparut qu'en 1929 : les boites
de construction en métal jusqu'alors de couleur noire et
laiton devinrent rouges, vertes et bleues, qui restèrent
d'actualité jusqu'à leur disparition en 2000. Autour
de 1950/1960, les boites de construction métalliques ont
le même statut que les trains électriques dans la
chambre des enfants. Les pièces détachées
sont souvent utilisées pour agrémenter le réseau,
sous la forme de ponts, de pentes, de grues ou de marchandises
en vrac.
Au changement de siècle, le train n'était qu'une
petite partie de l'assortiment complet. Ce qui changea en 1935
avec l'apparition de l'échelle 00 (1:87). A ce moment,
les rails pouvaient être posés sur une table. Si,
auparavant, on montait le réseau au sol pour la Noël,
on pouvait maintenant le faire rouler toute l'année. A
partir de 1950, cette échelle devient l'échelle
H0. On arrêta la production de l'échelle 0 en 1954.
L'époque du modélisme ferroviaire en tôle
semblait toucher à sa fin. En 1969, MÄRKLIN
lança la nouvelle "voie 1", la même échelle
que feu l'échelle 0, mais faisant l'objet d'une autre méthode
de fabrication.
Le summum de la réduction d'échelle fut présenté
à la Foire Internationale du Jouet de Nuremberg en 1972
: le mini-club. Avec une échelle au 1:220ème, il
fut introduit immédiatement dans le "Guiness Book
des Records". 1984 vit l'apparition du système Digital.
Jusqu'à 80 locomotives et 256 aiguillages et/ou signaux
peuvent être pilotés simultanément. Il est
quasi impossible pour quelqu'un de piloter un tel réseau,
mais la possibilité de piloter réseau par le biais
d'un PC ouvre de nouvelles perspectives.
On assiste en 1994 au retour des modèles de train en tôle
avec l'apparition du MAXI. Complètement fabriqué
en tôle, le MAXI constitue les modèles d'entrée
de gamme de la voie 1, avec le charme et la nostalgie des trains
miniatures des années '30. Adapté aux enfants, il
fait l'objet de la convoitise du collectionneur adulte. En 1995,
MÄRKLIN opère
un retour aux sources : on propose une réplique d'un landau
de poupée et d'une cuisine de poupée. *
Voici
un site intéressant avec des machines Märklin, cliquez
ici
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1898 à1900
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1900 à 1904
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1898 à 1936
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1935 à 1938
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La
marque allemande, fondée en 1898 par Johann SONDHEIM et
Peter DOLL, produisit des
machines à vapeur vive et les
petites machines outils qu'en général ce genre de
machine anime. Après la première guerre mondiale,
Max BEIN rejoignit les
deux associés et la gamme de jouets sélargit avec
des trains et des jouets à mécanisme d'horlogerie.
La grande firme de
trains FLEISCHMANN reprit
toute la fabrication en 1938.
*
Voici
un site intéressant avec des machines Doll, cliquez
ici
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1938 à1904
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1898
à 1904
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1905
à 1917
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1905
à 1917
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Décalcomanie Carette
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Le
français George CARETTE
émigra à Nuremberg et y installa une petite usine
de jouets en 1886. Il sous-traita alors pour
BING, grâce à
l'aide financière du brasseur HOPF. Puis il lança
ses propres produits et proposa, en 1893, le premier train
électrique que l'on vit tourner à l'exposition universelle.
La marque se fit connaitre pour ses automobiles, ses bateaux,
ses
avions et ses machines à vapeur. Une collaboration avec
BASSETT-LOWKE fut entreprise
pour la construction des voitures à
voyageurs de cette firme anglaise grâce à son ami
et associé Paul JOSPEHTAL. Mais CARETTE
dut rejoindre la France lors de
la déclaration de la guerre en 1914 et son associé
ne put, une fois la paix revenue, relancer l'affaire.
Karl
BUB entreprit de fabriquer des jouets à Nuremberg en 1851.
Ses trains mécaniques et électriques devinrent un
succés
au début du XXème siècle après avoir
longtemps réalisé des jouets simples en fer-blanc.
Une association avec CARETTE
exista, et BUB reprit la fabrication des trains CARETTE
après que ce dernier, de nationalité française,
dut quitter l'Allemagne
en 1914. La prospérité de la firme fut très
grande dans les années 1920, et la reprise des productions
BING en faillite en 1930
donna à Karl BUB une position de tout premier rang en Allemagne
avant la dernière guerre. Après les hostilités,
la reprise se
fit dans des conditions difficiles du fait de la destruction des
usines et la marque ne retrouva jamais l'essor des années
1920
et 1930 ; elle cessa de produire en 1967, semble-t'il. *
Voilà
un site très intéressant avec des machine Carette,
cliquez
ici
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1900
à 1935
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1900
à 1935
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1932
à 1935
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Un
employé de CARETTE lança
lui-même sa propre fabrication, en Allemagne, en 1897, Joseph
FALK. Il se distingua en
construisant de remarquables machines à vapeur vive avec leurs
accessoires (petites machines-outils entrainées par la
machine à vapeur). Il reprit la fabrication de bateaux, et
autres jouets de SCHOENNER avant
de céder sa firme à
Ernst PLANK en 1935. |
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1866
à 1932
logo d'une machine de 1902
logo d'une machine de 1895,
sur la plaque de la machine on pouvait lire
le n° de patente "D.R.P. No 137178 D.R.P. No 188563"
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Voici
un nom très connu des amateurs de jouets anciens.
Ernst PLANK créa son entreprise à Nuremberg
en 1866 et lança
une fabrication de machines à vapeur fixes et de lanternes
magiques. En 1890, des trains à vapeur vive, puis à
mouvement
d'horlogerie, furent ajoutés au programme et la production
de jouets l'emporta définitivement sur celle des appareils
d'optiques, vocation initiale de la firme. Des trains électriques
suivirent peu après, et l'entreprise, forte de ses cent vingt
employés,
sortit, en 1899-1900, quelques 150000 lanternes magiques et 80000
machines à vapeur fixes, locomotives et bateaux.
Après le début du siècle,
Ernst PLANK ajouta, à ses locomotives des systèmes
plus complets en matière de chemin de fer
avec un choix plus riche en matière de voitures et wagons,
et surtout des accessoires. La locomotive, dite "patte de cygogne"
(storchbein) parcequ'elle avait l'air de reposer en équilibre
sur ses grandes roues arrières, une des meilleures ventes de
la
firme, fut copiée par la concurrence. Les années 1930
virent de graves difficultés financières; les frères
Hans et
Fritz SCHALLER la reprirent en main et produisirent des appareils
de projection de cinéma pour enfants. Les activités
cessèrent au moment de la guerre. |
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1875 à 1917
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1875 à 1917
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Jean
SCHOENNER
ouvrit sa firme en 1875 à Nuremberg et fabriqua des lanternes
magiques et des machines à vapeur fixes. En 1887, il proposa
un train mécanique, puis à vapeur. La firme prit de
l'importance puisque les chiffres de production, pour 1888, sont de
l'ordre de 57000 jouets, et atteignirent plus de 300000 l'année
suivante, avec 250 employés. La dernière mention de
la marque, sur les registres du commerce de Nuremberg, date de 1904,
et la production aurait cessé peu après, bien que l'on
retrouve certains modèles SCHOENNER
chez FALK jusqu'au début
de la première guerre mondiale. La marque réalisa les
plus belles locomotives à vapeur vive qui soient, certaines
pour l'écartement IV, mesurant près d'un mètre
de long avec leur tender et leur très belles décorations.
Malgré de tels modèles exceptionnels, la marque disparut
du souvenir des amateurs et l'on attribue souvent à BING
ce que l'on retrouvait de SCHOENNER
avant que, ces dernières années, justice soit rendues
par des auteurs spécialisés. |
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1898 et après
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1939
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1930 à 1950
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1945
à ce jour
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cette étiquette était sur ma Fleischmann
125/4 de 1960
mais c'est bien sûr le logo des trains "HO"
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Toujours
aussi connue pour ses trains électriques; la firme fut fondée
par Jean FLEISCHMANNà
Nuremberg en 1887 pour la
fabrication de petits jouets en fer-blanc dont essentiellement des
bateaux, des canards ou des poissons flottant réellement.
Certains étaient équipés d'un aimant permettant
de faire avancer les jouets sur l'eau en les attirant. La firme
STAUDT est
rachetée en 1928 et les automates, les boites à musique
de cette dernière sont intégrés au programme
FLEISCHMANN.
Les productions de DOLL sont
reprises peut avant la seconde guerre mondiale, avant que la firme
ne se tourne définitivement
vers la production de trains en écartement O, puis surtout
HO
La
marque allemande, fondée en 1898 par Johann SONDHEIM et Peter
DOLL, produisit des machines à vapeur vive et
les
petites machines outils qu'en général ce genre de
machine anime. Après la première guerre mondiale,
Max BEIN rejoignit les
deux associés et la gamme de jouets sélargit avec
des trains et des jouets à mécanisme d'horlogerie.
La grande firme de
trains FLEISCHMANN reprit toute
la fabrication en 1938.
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Weeden
de 1880 à1952
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Weeden
La
compagnie Weeden fut fondée dans les années 1880
par William Nye Weeden aux Etats-Unis, à New Bedford, une
ville située dans le Massachusetts. La compagnie fabriquait
dabord des lampes à pétrole et des objets
ménagers en fer blanc. De par ses relations, il vient à
rencontrer le propriétaire du magazine Youths Companion
(qui était un magazine pour enfants publié à
Boston entre 1827 et 1929), car ce dernier aimerait augmenter
le nombre des abonnements à son magazine en offrant en
supplémant une machine à vapeur jouet très
peu chère et de qualité. A savoir que le magazine
a déjà offert dans les années 1870 et début
1880 des machines à vapeur fabriquées par Buckman
Company, à New York avec le même but. Cest
ainsi que Weeden produit une belle machine à vapeur verticale,
de qualité et fonctionnant à merveille, le modèle
N°1, ce qui entraînera une commande de 10000 exemplaires,
sachant quun exemplaire est vendu pour le prix de $1.00.
Le modèle N°1 apparut pour la première fois
dans lédition du magazine doctobre 1884, et
sera fabriqué jusquen 1905. La compagnie fabriquera
aussi par la suite des étuis à peignes, des coffres-forts,
ou encore la fameuse Lanterne Magique Weeden.
William N.Weeden meurt en 1891, et la compagnie fut reprise par
un employé de la firme qui était le représentant,
William Ritchie.
Cest dans les années 1890 que la compagnie Weeden
a développé sa ligne de machines à vapeur
jouets, possédant une base en fonte, une grande chaudière
en laiton, des pièces nickelées et elles étaient
plus réalistes. Durant les premières années
de fabrication, les machines étaient chauffées seulement
grâce à ce que les Américains appelaient de
lalcool de bois, cest-à-dire de lalcool
dénaturée, hormis le modèle N°20 qui
pouvait aussi être chauffé avec du pétrole
lampant ou dautres types de combustibles liquides. Cest
en 1926/1927 que fut introduit le chauffage électrique
sur quelques nouveaux modèles, et cest à cette
même période que certains modèles existant
auparavant ont été modifiés en recevant ce
chauffage électrique, et reçurent également
un nouveau numéro de modèle à l'occasion.
Avant 1940, il y avait au moins 110 modèles de jouets à
vapeur produits, incluant les machines stationnaires, les bateaux
et les mobiles (locomotives, tracteurs, etc...). Malheureusement,
la compagnie sera vendue en 1942 à "National Playthings".
Les différentes fabriques abandonnèrent la vapeur
comme énergie, remplacée par les moteurs Diesel
et électriques, et les nouveaux propriétaires réduiront
la gamme de jouets à vapeur, qui propose désormais
seulement six modèles, dont deux chauffés à
lalcool. Cest en 1952 que cessa la fabrication de
ces jouets, et les différentes machines permettant la fabrication
des jouets à vapeur, ainsi que les moules et les brevets
sont rachetés pour $800 par "Security Signals Inc",
qui seront gardés quelques temps avant de disparaître.
Avec plus de 110 modèles de jouets à vapeur de tout
genre, ainsi que de nombreux accessoires à entraîner
et dautres jouets( moteurs électriques, cuisinières
électriques, etc...) fabriqués, la compagnie Weeden
a laissé derrière elle un héritage mémorable.
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années 60/70?
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Wilesco
Du travail de l'aluminium aux machines à vapeur en laiton
ou l'histoire de la société Wilesco.
La société Wilesco - Ets. Wilhelm Schröder
GmbH & Co. -, fabricants de produits en métal a été
fondée en 1912 par Wilhelm Schröder. Au début,
la production de Wilesco portait sur des couverts en aluminium et
des garnitures de présentation daprès le procédé
de fonte en coquille. Certains de ces produits font toujours partie
du programme de fabrication Wilesco, telles les louches de grande
dimension dont une grande partie est exportée. Au début
des années 20 débuta la fabrication des couverts et
casseroles en aluminium pour dînettes (jouets appelés
aujourdhui "jouets ménagers"). Nous pouvons
remercier ceux qui ont pris cette décision, car, au moment
de la crise économique mondiale de la fin des années
20, de grandes quantités de petits raviers pour dînettes
garnis de couteaux, fourchettes et cuillers étaient exportées
aux Etats-Unis. Lentreprise Wilesco a pu ainsi sortir indemne
de cette phase économique difficile.
Tandis que la vente des couverts simples en aluminium
diminuait, les possibilités de fabrication dans la fonte
en aluminium en coquille ainsi que dans la fonte en aluminium et
en zinc ont été élargies et adaptées
aux besoins du marché.
Les produits en fonte daluminium ou de zinc
sont surtout utilisés comme pièces dembrayage
et de raccord dans lindustrie automobile et dans lindustrie
électrique. Bien entendu, les pièces en fonte pour
les machines à vapeur Wilesco, tels que des volants ou des
tiges, sont produits par lentreprise.
Relativement tard, en 1950, a démarré
la fabrication des miniatures de machines à vapeur Wilesco.
La clientèle existait déjà: cétait
celle des dînettes. Wilesco a très vite réussi
à se tailler une part appréciable du marché
grâce à lesthétique des modèles
et à la haute qualités des produits. Dès 1966,
le modèle mobile de la machine à vapeur Wilesco "Old-Smoky"
a été mis en fabrication. Ce modèle est une
reprodution très fidèle de loriginal. En 1987,
pour le 75ème anniversaire de la création de Wilesco,
une voiture des pompiers à vapeur a été fabriquée.
Ce modèle, se basant sur un original de MAGIRUS de 1904,
remporte un grand succès. Cest avant tout ce genre
de jouet de très haute technicité qui, grâce
à sa présentation réussie, a sa place sur le
marché du hobby et du modélisme. Environ 50% du chiffre
daffaires sont réalisés par la vente des machines
à vapeur.
La superficie de production atteint environ 15.000
m2. Au cours des dernières décennies, les locaux ont
été plusieurs fois agrandis. Les machines à
vapeur Wilesco sont exportées dans le monde entier où
elles ont leur place dans le domaine du jouet et du hobby. Aujourdhui,
Wilesco peut senorgueillir dêtre le plus grand
producteur de maquettes de machines à vapeur de qualité.
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Jensen
Cette firme américaine fabriquait des machines à
vapeur depuis 1932, et en fabriquent encore de nos jours.
La production se déroule tout comme autrefois, sans CNC les
machines ou d'autres outils modernes.
La production est assez à fort coefficient de travail, et cela
a son incidence sur le prix. Il est les machines relativement simples,
mais la chaudière et le socle bon marché et un peu "simples".
La production semble faite plutôt dans un but "éducatif"
'et les collectionneurs prétendent. Qu'il y a des modèles
plus rares et surtout chers, il paraît que ceux-ci aurait été
produits en fabrication limitée, est ce une astuce pour les
vendre plus cher?
Toujours est-il que certains modèles il faut bien l'admettre
sont très difficiles à trouver alors que d'autres ,
même assez anciens se trouvent facilement et à très
bon prix.
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Sachsenmeister
Lla marque Sachsenmeister était fabriquée en
RDA (République Démocratique d'Allemagne) dans les années
50
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marque Australienne qui fabrique des machines
de nos jours
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certaines machines de
Jean Comby
ont été commercialisées par
ManuFrance
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Sur
le logo les initiales J. C. sont bien celles de Jean Comby,
mais pour ce qui est du "UNIS-FRANCE"
De nombreux produits anciens (jouets, TSF, ustensiles ménagers,
outillages, ...) portent, en plus de leur marque de fabrique, cette
mention
"UNIS FRANCE", ce n'est pas une marque mais une protection
qui signifie
"Union Nationale Inter-Syndicale" (UNIS), elle a été
instaurée par un groupement d'industriels en 1916.
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Jean Comby artisant
Français à construit des machines à vapeur
jusque au milieu ds années 50 sous la marque JC.
Ces machines seront commercialisées avec les bateaux à
vapeur NOVA par la maison PRADET, la fabrication sera arrêtée
en 1953.
Le premier modèle fabriqué était à simple
piston oscillant, le second modèles était à
peu près le même que le premier, mais il avait rajouté
un socle de fonderie sous le moteur (piston et volant).
Le troisième modèle était équipé
d'un cylindre à tiroir cylindrique et d'une grande cheminée
séparée, identique à des modèles plus
puissants.
Le quatrième modèle s'apparentait aux premiers mais
la chaudière était chromée et le moteur était
constitué de deux cylindres osillants calés à
170°, c'était un modèle puissant.
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Hobies/Mamod
1936
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Mamod
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1953 à 1957
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1937 à 1946
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1937-1946
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1946 à 1953
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1957 à 1965 environ
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1965
à 1979
comme ce logo est un peu
usé,
j'en ai dessiné un nouveau
ci dessous en 4 variantes
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1946 - 1953
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en passant je signale l'existence
de ce Forum de nos amis Anglais
qui est très bien et super sympathique, rendez leurs une
petite visite.
Et si comme moi vous êtes amateur de vapeur et que malheureusement
vous ne connaissez pas la langue, vous pouvez utiliser les traducteurs
automatique, vous arriverez toujours vous faire comprendre.
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Histoire de la marque
Hobbies était et est toujours
une société qui commercialise des jouets. En 1934/1935,
Geoffrey Bowman Jenkins, arrête sa fabrication de machines
à vapeur Bowman, quil fabriquait pour la société
Hobbies, et la firme Bowman ferme. Cest en 1936 que Geoffrey
Malins lance une nouvelle fabrication de machines à vapeur
pour Hobbies, complétant ainsi le manque, vendues sous
la marque de la société Hobbies. Cest ensuite
en 1937 que G.Malins créé sa propre société,
Mamod (qui vient de Malins Models), dont ses machines seront désormais
vendues sous cette marque. En 1980, Mamod est en redressement
judiciaire, arrive à survivre, mais les Malins vendent
la société, qui passera ensuite entre les mains
de plusieurs propriétaires.
En 1936, G.Malins lance donc la fabrication
de la SE1, de la SE2, de la SE3 ainsi que de la SE4 (la même
que la SE3, hormis quelle possède deux cylindres).
En 1939, deux nouveaux moteurs feront leur apparition, la Mamod
Minor 1 (surnommée MM1; le moteur est monté sur
la chaudière) et la Mamod Minor 2 (surnommée MM2,
elle possède deux cylindres opposés, également
montés sur la chaudière). Il y a également
lapparition de la SC2, de la SC3 et de la SC4, ce sont respectivement
les mêmes machines que les SE2, SE3 et SE4, sauf quelles
possèdent une transmission montée sur leur base,
et la couronne avec les poulies, montées au dessus du moteur,
disparaissent donc (apparemment, ces trois machines remplaceraient
les SE2, SE3 et SE4 ; elles sont aujourdhui très
rares).
Malheureusement, la fabrication des machines sera interrompue
en 1939/1940 à cause de la Seconde Guerre Mondiale. En
1946, la fabrication est relancée, mais il y aura seulement
3 moteurs, la MM1 qui reste inchangée jusquen 1950,
la SE1 dont peut de temps après (toujours en 1946), la
cheminée montée sur le socle sera dorénavant
montée sur la chaudière, et la SE2. Un prototype
de SE4 sera produit, toujours en 1946 (il est aujourdhui
entre les mains dun collectionneur), mais la SE4 ne sera
jamais commercialisée. Ce nest quen 1948 que
la Minor 2 sera relancée, mais cette fois-ci avec quun
seul cylindre (cest donc pour ceci que la MM2 davant
guerre, avec deux cylindres opposés, est très rare,
puisque produite seulement à 100 exemplaires). Ensuite,
la SE3 est à nouveau fabriquée à partir des
années 60 (peut-être fin des années
50), mais ce nest pas la même que la SE3 davant
guerre, puisque les machines ont évolué depuis,
et la SE3 possède cette fois-ci deux cylindres (elle correspond
surtout à la SE4 davant guerre). Il y aura donc nombreuses
évolutions au fil du temps, comme les bases plates des
machines, nommées en Anglais flat bases, remplacées
en 1954 par les bases relevées (en Anglais raised bases),
comme celles que lon a lhabitude de voir aujourdhui,
ou encore les montages avec des vis remplacés par les montages
avec rivets en 1965, les volants à 6 branches remplacent
les volants pleins en 1948 pour les SE1 et SE2, un peu plus tard
pour la MM1, etc... En 1967, les SE1 et SE2 sont renommées
pour devenir SE1A et SE2A, dont cette dernière recevra
un levier dinversion de marche. Toutes ces machines seront
arrêtées en 1979, pour être remplacées
par la série des SP, dont certaines seront arrêtées
en 1984, et dont les autres sont toujours fabriquées.
En 1961, Mamod lance aussi la fabrication
des machines mobiles, dabord avec le rouleau-compresseur
SR1, puis en 1963, avec le tracteur TE1 (renommé TE1A en
1967), puis avec de nombreuses autres machines (SA1, DV1, SW1,
etc
), dont la plupart sont toujours produites aujourdhui.
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Scotland Society badge
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Meccano
crée Dinky Toys
L'histoire de Dinky Toys débute par celle de Meccano, en 1901.
Plus exactement, elle fait suite au succès des
"Hornby Modelled Miniatures".
Ce sont des voitures et des camions apparus en 1933 pour enrichir
les circuits de trains Hornby crés par Meccano. En effet, ces
jouets vont créer une demande telle que Meccano
va décider de leur dédier une marque. Ce sera Dinky
Toys (traduction française : petit ou précieux jouet)
créée en 1934. Contrairement à ce que l'on peut
entendre, ce n'est pas
Dinky Toys qui est à l'origine
de l'échelle 1/43. C'est en effet CR (Charles
Rossignol) qui, au début des années 1920,
réalisera les premiers petits véhicules en tôle
à cette échelle. On peut toutefois accorder à
Dinky Toys le fait d'avoir imposé cette échelle à
pratiquement toute sa gamme. La guerre et ses pénuries de matières
premières conforteront le 1/43 comme la meilleure des échelles
de réduction en rapport à la faible quantité
de Zamac exigée. De plus, avec cette taille, une Mercedes 190
SL loge dans la poche d'un pantalon...
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Genuine Bowman
La fabrique "Bowman" à Dereham a fabriqué
des machines entre
1926 à 1935
Geoffrey Bowman Jenkins commença en 1917
à fabriquer des jouets en bois, puis, il fonde la firme
"The Woodcraft Patents Co", avec laquelle il commencera
à fabriquer des moteurs à vapeur pour Hobbies
à partir de 1922. Il fabriquera par exemple un moteur
à vapeur pour bateaux, le "Peter Pan", qui
est vendu monté dans un bateau portant le même
nom, ou vendu seul, ainsi que des bateaux à vapeur
comme, en plus du "Peter Pan", le "Miss America",
le "Steam Tug" ou encore le "Peggy". Il
fabriquera aussi des machines à vapeur stationnaires,
toujours pour Hobbies, comme le modèle Hercules ou
encore le Demon, mais aussi pour "Worboys & Smart"
avec qui il sest associé, avec plusieurs modèles
de machines stationnaires toutes plus ou moins semblables,
sous la marque déposée Wormar, avec par exemple
les modèles Elite, Trojan ou encore Super, ce dernier
possèdant deux cylindres opposés (certaines
machines, dont les Wormar, ont apparemment été
aussi fabriquées avec la nouvelle firme Bowman Models).
Cest en 1926 quil créa la firme "Bowman
Models" (à Dereham, Norfolk), avec laquelle il
fabriquera de nombreux modèles de machines à
vapeur stationnaires, des bateaux (dont certains à
vapeur aussi), ainsi que des trains à vapeur. Mais
apparemment, ce nest quen automne 1927 que sort
le premier modèle estampillé Bowman (voir logo
si-dessus à gauche), le E101. La première locomotive
Bowman ne sera commercialisée quen 1928, et le
premier bateau vendu sous la marque Hobbies-Bowman (voir logo
si-dessus à droite) ne sera pas commercialisé
avant le printemps 1930. De nombreuses machines à vapeur
stationnaires seront fabriquées, allant du modèle
101, le plus gros, au 180. Deux dentre eux possèdent
deux cylindres, le modèle 122 et 140, et la plupart
possèdent une couronne permettant davoir une
meilleure démultiplication pour entraîner des
accessoires (Bowman Models en vendra dailleurs, mais
soit disant fabriqués par Doll), seuls le 167 et le
180 nen seront pas équipés. Toutes ces
machines seront montées sur une base en métal,
perforée sur tout le tour pour pouvoir y adapter du
Meccano, et ceci est indiqué par le "M" précédent
le numéro du modèle. Mais quelques modèles
seront aussi proposés avec une base en bois, comme
le 101, le 135, le 158 ou encore le 167, et ceci est indiqué
par un "E" précédant le numéro
du modèle. A savoir que quelques modèles de
machines stationnaires seront vendus sous la marque Hobbies,
dont certains en kit à monter comme le modèle
Hercules commercialisé par Hobbies entre 1927 et 1932,
ou le modèle Lion entre 1928 et 1939, qui est quasiment
le même que le E101. Il fabriquera aussi les machines
stationnaires de marque Wormar, comme précédemment
dit, mais apparemment jusqu'au années '30, voire même
avant. Ensuite, quatre modèles de locomotives seront
fabriqués, le 234 qui est le plus gros modèle,
le 265, le 300 et enfin le 410 qui est le plus petit. Plusieurs
modèles de wagons seront également fabriqués,
et des kits complets incluant la locomotive, des wagons et
les rails seront proposés. Enfin, quatre bateaux à
vapeur seront vendus sous la marque Hobbies-Bowman, le Swallow,
qui est le plus petit, ensuite le Snipe, le Eagel et enfin,
le plus gros, le Seahawk qui est le seul à posséder
un moteur à deux cylindres, mais aussi cinq bateaux
avec des mécanismes différents, le Tiger et
le Panther utiliseront un mécanisme à ressort,
que lon remonte pour actionner le moteur, tandis que
lAeroboat 1 et 2 et le Greyhound utiliseront un simple
élastique. Mais quelques bateaux seront encore vendus
sous la marque Hobbies, deux modèles de Peggy, ainsi
que le Pioneer.
En 1935 environ, Geoffrey Bowman Jenkins arrêta la fabrication
des jouets à vapeur, et c'est dans les années
1930 qu'il créa le nom Jentique, avec lequel il se
lancera dans la fabrication de meubles, avant de fonder la
firme Bowman Jenkins, avec laquelle il fabriquera des bateaux
modèles réduits ("Bowman Racing Yatchs")
jusquà sa mort en 1959, et qui sera reprise par
son fils Max jusquà sa retraite en 1982. |
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Luton Bowman
Luton Bowman
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Luton Bowman
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Bowman Histoire
de la marque
Quelques temps avant la Seconde Guerre Mondiale, lentreprise
Piece Parts and Assemblies Ltd a été fondée
à Luton pour fabriquer des composants et des sous assemblages,
particulièrement pour lindustrie aéronautique.
Cela a naturellement été florissant durant la guerre,
mais dès 1945, une fois la guerre terminée, cela posa
problème à la société, puisque les besoins
en avions baissent énormément. Le directeur général
de cette époque a donc pensé à faire de nouvelles
gammes de produits pour relancer laffaire. La marque déposée
Bowman est donc rachetée, mais il ny a apparemment
aucun lien avec lancienne société Bowman de
Geoffrey Bowman Jenkins. La nouvelle firme est donc installée
dans un coin du site de la grande firme Piece Parts and Assemblies
Ltd. Leurs premiers produits étaient donc les modèles
réduits de machines à vapeur stationnaires, dont quelques
modèles ont été faits à la fin de lannée
1945, mais la production ne commencera réellement que lannée
daprès, soit en 1946. Il y a donc trois modèles
fabriqués, le plus gros étant la PW203, avec un sifflet,
un régulateur de vapeur, et un huileur placé au dessus
du cylindre. Les quatre coins de la base sont perforés de
plusieurs trous pour y adapter du Meccano, et les deux lettres B
et M sont écrites en relief sur le support de la chaudière.
La deuxième machine, la PW201, est bien plus petite, elle
ne possède ni sifflet, ni régulateur, ni huileur,
la base est perforée tout autour, également pour pouvoir
adapter du Meccano, tandis que la cheminée est placée
sur la chaudière, et les lettres B et M ne sont pas présentes
sur le support de la chaudière. Enfin, la troisième
machine est la PW202, cest la même que la PW201, sauf
que le moteur se trouve sur la chaudière, comme les Mamod
Minor 1 ou Minor 2. Dailleurs, on voit bien que la PW202 est
construite à partir de la PW201, puisque son socle est quand
même perforé de deux trous à côté
du support de la chaudière, pour accueillir normalement les
deux vis du support moteur, ce qui est le cas sur la PW201, or,
le support moteur est monté sur la chaudière sur la
PW202. On peut peut-être également parler dun
quatrième modèle, la PW204, qui est la même
machine que la PW203, mais elle possède deux cylindres opposés.
A ce jour, quun seul modèle complet avec sa boite (qui
est celle de la PW203, avec un tampon sur le couvercle : "Bowman
PW204 Made in England") est connu, est-ce peut-être un
prototype unique ?
En 1946, Mr. Bryant rejoint cette firme, et commence à fabriquer
des moteurs à vapeur marins, dont certains sont vendus seuls,
les autres sont vendus installés dans des bateaux. Lun
de ces bateaux est appelé Snipe, et ressemble énormément
au bateau Bowman davant-guerre du même nom. Un bateau
plus élaboré suivra, avec un plus gros moteur de conception
semblable à celle des versions stationnaires. Mais le cylindre
oscillant du moteur relativement peu réaliste ne le satisfait
pas, et cherche donc ensuite à faire quelque chose dun
peu plus réaliste pour quasiment le même prix. Cest
ainsi que naît en 1948 le moteur Bowman-Bryant, un moteur
ingénieux et fascinant à double cylindres, vendu seul
et monté sur une base en bois polie avec un logo Bowman,
ou monté dans le plus gros bateau fabriqué, le Sea
Jay, et il possède lui aussi les deux lettres B et M sur
un fond rouge, le tout sur le bloc moteur. Au total, quatre bateaux
seront fabriqués, le Snipe qui est le plus petit, le Swallow,
le Seahawk monté avec un moteur à double cylindres
opposés horizontalement, et enfin, le plus gros, le Sea Jay
monté avec le fameux moteur Bowman-Bryant.
La firme pensera aussi à fabriquer dautres
jouets, tels que des jeux de Casino, mais elle entrera dans des
difficultés financières avant davoir commencé
la fabrication de ces jouets. Peu de produits seront fabriqués,
et le nombre de machines à vapeur stationnaires et bateaux
à vapeur produits na probablement pas excédé
quelques centaines pour chaque modèle. De plus, vers la fin
de la vie de la société (probablement en 1949), les
machines à vapeur stationnaires étaient vendues comme
des kits de "bricolage", elles étaient vendues
en pièces détachées et devaient être
montées par les acheteurs, ceci permettait de les vendre
à bon marché et déviter la nouvelle taxe
dachat. En 1950, le stock de moteurs et de bateaux sera racheté
en lot, et les produits seront vendus à moitié prix.
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EMPIRE
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STUART
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Histoire de la marque
La Société Signalling Equipment
Limited était une filiale du fabricant de jeux et jouets
J. & L. Randall Ltd. installé à Potters Bar
dans le Hertfordshire. Les modèles SEL ont été
produits entre 1946 et 1965. Durant ces années, ils constituaient
l'un des principaux concurrents de la marque Mamod.
SEL a été pionnier dans l'utilisation du plastique
thermo-formé pour la fabrication des accessoires mais
aussi pour les paliers des blocs moteurs des deux plus gros
modèles de machines à vapeur.
La gamme SEL comprend quatre modèles de
machines à vapeur ("Minor" n°1520, "Junior"
n°1530, "Standard" n°1540, "Major"
n°1550), un modèle pour bateaux et plusieurs accessoires.
NB :
La Société J. & L. Randall Ltd. produisait
également des jouets sous la marque Merit, très
populaire dans les années 50 et 60. Certaines machines
SEL ont donc aussi été vendues sous la marque
Merit. Voilà qui explique les différentes marques
que l'on peut trouver sur les boîtes ou notices par exemple...
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Les
plombiers Wilhelm Krauss, Johann Mohr, Emil Bell et Mathias Lechner
ont établi le 1 janvier 1895 une usine pour la production
de jouets de tôle. L'accent de la production était
avec des machines à vapeur simples et des moteurs aériens
chauds aussi bien que des accessoires vapeur. Les jouets où
commercialisé par grands éditeurs comme Ullmann et
Engelmann, Fürth, A. Wahnschaffe, Nuremberg parmi d'autres.
En plus de ceci, ils cherchaient aussi la collaboration avec d'autres
fabricants de jouets à vapeur. Pour Bing étaient des
machines à vapeur et quelques types moteurs à air
chaud fabriqués, mais aussi la série d'accessoires
vapeur simples. Il y a aussi des indications sur des relations d'affaires
avec les entreprises Carette, Falk et Schoenner.
Caractéristique stylistique du K.M.*Co. Les machines à
vapeur et des moteurs à air chaud sont la formation des parties
de tôle cylindriques. La chaudière couvre, des dômes
à vapeur.
Seulement
quelques années après que l'entreprise a été
établie - autour de 1901 - les partenaires sont évidemment
entrés dans les conflits qui ont mené à la
séparation. Krauss, Mohr et Lechner retraité de l'entreprise,
qui a continué sous le vieux nom pour peu de temps par Emil
Bell et son avocat Anton Ross, un homme d'affaires Nuremberg. La
raison sociale K.M.*Co. Disparu en 1903 et a été changé
à E. Cloche et B. Breitenbach. L'entreprise a existé
sous ce nom jusqu'à 1919. Il n'était pas très
parlant et si de nouveaux jouets ont été produits
ou si la production ) continué ce fut sans grand succès.
Directement après départ de l'entreprise W. Krauss
et J. Mohr a établi une nouvelle entreprise de jouet, Mohr
et Krauss, basé dans Hochstraße 23, Nuremberg. Probablement
une grande partie des outils avait été emportés
de K.M.*Co., comme il y avait beaucoup de ressemblances stylistiques
entre les jouets des deux entreprises. Cependant, il est nécessaire
de préciser que quelques machines à vapeur et accessoires
n'était pas évidente pendant la phase transitoire
des deux entreprises. L'identification des jouets est difficile
en raison de ces problèmes de phase transitoire et le fait
que l'on remarque seulement rarement leurs jouets qui s'appliquent
particulièrement aux accessoires à vapeur. Une caractéristique
cohérente de K.M.*Co., M*K à l'entreprise de successeur
WK (leur marque déposée est presque toujours attaché
aux jouets) semble être les quatre - a parlé la roue
motrice des accessoires à vapeur
Il y a trois brevets connus par M*K, cependant aucun ne s'est rapporté
aux jouets de vapeur. En plus des machines à vapeur, des
moteurs à air chaud et des accessoires à vapeur l'usine
a produit des grues jouet en tôle et d'autres véhicules
.
Même avant la Première guerre mondiale, il semble que
la production de machines à vapeur et des moteurs à
air chaud ont été abandonnée. Le centre de
la production est resté sur des accessoires à vapeur,
dont beaucoup étaient un mélange de lithographie et
peints à la main. Au 28 décembre 1917 W. Krauss est
devenu le propriétaire unique de M*K, probablement en raison
de la mort de J. Mohr. Après la guerre, la production de
jouets en étain a été continuée, toujours
sous le nom M*K. Des données plus détaillées
sur le nombre de salariés, le volume de production, ne pourraient
pas etc encore être déterminé.
Le 19 avril 1923, l'entreprise a cessé d'exister sous son
nom précédent et est maintenant devenue Wilhelm Krauss.
Le siège social n'a pas changé. Le principal de la
fabrication était des accessoires toujours à vapeur
mais il a changé significativement vers des marchandises
simples et bon marché. Une série entière d'accessoires
simples a été produite pour J. Falk et a offert dans
leurs catalogues de 1925. Du milieu des années 30, une marque
déposée révisée a été
utilisée en parallèle avec la marque déposée
utilisée depuis 1923. Les deux marques déposées
apparaissaient toujours comme des illustrations lithographiques.
L'entreprise W.K a fait faillite le 23 juin 1938 dans des circonstances
qui ont toujours besoin d'une clarification exacte. Des raisons
politiques ne doivent pas être exclues. Les outils et les
machines ont été emportées par le Metallspielwarenfabrik
Keim et co., Nuremberg.
Il y avait une succession des entreprises qui ont fonctionné
comme Krauss, Mohr et l'Entreprise de 1895 à 1903, Mohr et
Krauss de 1901 jusqu'à 1923 et Wilhelm Krauss de 1923 jusqu'à
1938. Les entreprises diverses ont fait des jouets colorés.
Ils ont produit des manèges de chevaux de bois.
Beaucoup
de jouets Krauss peu coûteux ont été faits pour
l'exportation pour les États-Unis.
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Sorpion
ce logo est celui de la machine de mon
ami tmuir du forum Mamod
voici
ses machines, les deux de gauche sont des "Scorpion"
marque Australienne, et celle de droite est aussi une machine
de fabrication Australienne
(cliquez sur la photo pour l'agrandir)
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Mersey
Mersey, l'histoire de la marque.
Les machines à vapeur Mersey ont été produites
à Liverpool entre 1934 et 1939. La production a cessé
au début de la Seconde Guerre Mondiale, lorsque les métaux
ont été requis pour leffort de guerre, bien
que la publicité ait continué en 1940. De plus,
lusine a été bombardée pendant la guerre.
Plusieurs machines stationnaires à vapeur ont été
produites, ainsi que deux bateaux à vapeur et des accessoires
à entraîner avec les machines. Les machines stationnaires
étaient montées sur une base en bois (qui semble
être du contreplaqué), et suivant les modèles,
possédaient un, deux, voire trois cylindres, ainsi quune
transmission montée sur la base. Les modèles 51,
52 et 53 ne possédaient quun seul cylindre, monté
verticalement sur le 51, à 45° sur le 52 et le 53,
ce dernier avait aussi une transmission montée sur la base.
Viennent ensuite le modèle 54, avec deux cylindres montés
verticalement, lun à côté de lautre
et une transmission, et le modèle 55 avec trois cylindres
montés en étoile, avec une transmission également.
Certains modèles possédaient un inverseur de marche
qui permettait aussi de régler la vitesse de rotation du
moteur, cette option était indiquée par un "R"
qui suivait le numéro du modèle. Certains modèles
étaient aussi équipés dune couronne
qui permettait une démultiplication plus importante pour
entraîner des accessoires, cette option étant indiquée
par un "G" après le numéro du modèle,
et avec le "R" si linverseur de marche était
lui aussi présent. A noter que le modèle 54 était
proposé avec une dynamo en option, indiquée par
un "D", et que loption "G" nétait
pas proposée. De plus, le 51 nétait proposé
avec aucune option, et le 55 avait, quant à lui, seulement
loption "R" proposée. Il existe aussi un
modèle avec deux cylindres opposés (numéro
de modèle introuvable jusqu'à présent), avec
une transmission montée sur la base, sûrement le
modèle stationnaire le plus rare de la gamme Mersey. Viennent
ensuite deux bateaux à vapeur, très rares aussi
aujourdhui, le "Miss Mersey 1" et le "Miss
Mersey 2", dont les coques en bois ont été
fabriquées pour Mersey par Star Yachts of Birkenhead, une
firme fabriquant des bateaux modèles réduits, fondée
dans les premières années suivant la Première
Guerre Mondiale.
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Robert
Fulton
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C. R.
Entreprise française fondée par Charles Rossignol
qui a produit des jouets pour la plupart en tôle lithographiée
de 1890 à 1962.
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Kookaburra
Fabrique Australienne
de nos jours
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Radiguet
Firme
créée à Paris en 1872. Le nom de son fondateur devint
très vite connu pour les belles machines à vapeur,
les locomotives à vapeur vive et les bateaux à vapeur aux
belles pièces en laiton poli. Une association avec MASSIOT
est
conclue en 1889. Mais il est problable que la firme n'ait guère
duré au-delà des premières années du XXème
siècle
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